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très grande depression - Page 22

  • Dis moi des maux...

     Et puisqu’on ne pouvait toucher aux paradis fiscaux, il suffisait de faire payer les pauvres...

    Avantage : Ils sont plus nombreux…

    Leurs dépôts en banque, c’était fait …

    Rattrapé comme les amis par la faiblesse de mes moyens, je me suis donc vu retirer ma carte à débit différé pour recevoir une carte de débit immédiat, qui ne permet de retirer uniquement ce que l’on a, qui n’est évidemment pas accepter chez les loueurs de voitures et dont on se demande même si elle passe le péage sur l’autoroute…

    Donnez comme nom Maestro à une carte payante pour les crevards,…Il fallait y penser…

    Marketing du mépris : A la misère, ne pas oubliez de rajouter l’humiliation (un peu comme parler de l’avenir de la Grèce sans les grecs.)

    Dans les cafés populaires, on ne s’appelle plus Chef mais Maestro…Traduisez « Pov type » pour les banquiers.

    Et puis si les gens avaient peur de l’enfer, il suffisait de leur montrer qu’ils n’ont pas à aller le chercher bien loin. : Moins rembourser les arrêts maladie, rémunération de ceux qui ne sont pas opérationnels, augmenter la TVA qui n’aura de sociale que le nom pour faire payer les consommateurs improductifs, sans oublier la CSG qui concerne la quasi-totalité des gens et qui englobe l’attrayant  revenu des jeux dans un contexte de Très Grande Crise où l’avenir de l’homme se joue sur Equidia, à la Française des vieux ou au pantabruelique Marché du Poker en ligne bettancourtisé récemment de 143 millions.

    Opération lente et délicate que cette récolte du budget de la France à venir, lavé de sa gangue de flambée noire, miséreuse et puante. L’économie n’aime pas les volte-face et quel qu’ait été le poison choisi, les années d’addictions se rachètent au sang//tuple;

    Allez une petite chanson pour la route…

    " La messe, je la sais pas...Le procés, j'y étais pas, le compte en banque, j'ai pas connu, les sicav non plus, j'ai pas été dans l'immobilier...

    www.youtube.com/watch?v=MFrKByPKTcI

  • Last exit to TGD

    Règle nécronomique n°22 : Un homme averti connaît toujours la sortie

    JPC Manuel de survie en période de TGD

    Des télévisions par milliers qui traitaient le sport comme un sentiment et la souffrance comme une information, autant de principautés spatiales émises par satellite situées à la verticale du monde…L’intégration comme annoncée ne se faisait plus que par le truchement des mass media financée par la grande conso…La mission était simple :

    Créer une audience,

    Développer une relation avec cette audience,

    Transformez cette audience en valeur en assurant la meilleure visibilité aux Marques et enseignes.

    Une spéculation cathodique sur l’avenir d’une économie remise entre les mains d’un dieu qui s’est réfugié dans le frigo. Il s’agissait de vitrifier les cerveaux sans geler les cœurs et les portefeuilles qui les protégeaient. Les soirées des consommateurs citoyens ne doivent pas ressembler aux couloirs d hôpitaux.

    Captain Valium twist and shot…Le rien scintillant de Wall Street est le programme de la terre. Recapitalisation … hymen reconstruit… virginité sans fin. Inonder les banques d’argent au moment où elles font sauter tous les découverts autorisés des pauvres, en espérant que de petites quantités d’argent franchissent les portes des coffre forts pour finir dans le caddy de Madame Michu et dans le crédit de LadyGaga, les deux aussi surendettées à leur niveau que la main invisible qui amène cet argent car le long tube polymorphe de l’économie digère la violence qui l’a constitué et continue de la noircir de son autre main située à l’autre extrémité.

    Compte t'on  réellement créer un choc de confiance en inscrivant une responsabilité pénale des acteurs financiers dans le droit européen comme vient de le suggérer Barroso ? Il est trop tard…La TGD est là, même si les medias refusent de la rencontrer et avec elle son lot de comportements suicidaires économiquement importés : immolation, bersekisme…comme dans l’éducation nationale récemment.

    La perte du bonheur est grande dans les démocraties de marché lorsque vient le temps de survivre au lieu de vivre.

     

    On notera pour finir sur une note de marketing nécronomique que le pull col roulé noir de Steve Jobs est en rupture de Stock.

    Eh oui …Quand la créativité se marie à l’élégance…Nous connaissions bien cela en France….où un génie du marketing appelé Balladur déposait en 1995, 20 millions d’euros issus en partie de tee shirt à son effigie que de mémoire d’homme personne ne se souvient avoir vu porter et dont le chiffre d’affaire équivalait aux ventes du Che et de James Dean sans que personne ne retrouve à dire à pareil miracle économique à la française.

    L’éveil va être brutal mondial…Les berseks sont de retour...

  • Persiste et cygne noir...

    Il y aura le malheur et les tout derniers jours

    On n'oublie jamais rien, les mots et les visages

    Flottent joyeusement jusqu'au dernier rivage

    Il y aura le regret, puis un sommeil très lourd.

    Dernier temps Michel Houellebecq.

     

    A ce stade alors que nous vivons un Hiroshima économique puisqu’on parle maintenant de 40 millions d'européens sur le carreau autrement dit sans chômage comme la moitié des chômeurs espagnols qui viennent au bout de leurs allocs en 2012. Comme les commerçants en Grèce et bientôt partout avec la chute programmée de la consommation, essence du moteur …Oui à ce stade de la catastrophe, aucun responsable n’a encore été désigné à la vindicte populaire (autre que Kerviel, Madoff et ses petits bras...)

    La violence de l’effort qu’il va falloir demander aux peuples repose désormais uniquement sur la légitimité et la crédibilité de nos dirigeants dont on mesure précisément à quel point, ils sont dépassés par l’enjeu, ce qui immanquablement posera la question de leurs compétences réelles.

    Puisque nous n’avons pas de solution, désignons un coupable à l’opinion, histoire de montrer qu’à défaut de solution, on a compris où s’était cassé le tuyau et donc que l’on savait comment le réparer.

    Alors qui est coupable ?

    Les Banques épicentre de la contamination des produits toxiques ?

    Les agences de notations qui ont donné des bonnes notes aux banques qui commercialisaient des produits toxiques ?

    Les Etats qui ont incités les banques à acheter de la dette souveraine en jouant les gros bras : « Nous sommes le meilleur placement puisqu’on ne peut pas faire faillite… » ? ( La Banque postale vient d’en faire les frais avec de la dette grecque…Banane de 158 millions d’Euros, banane au goût amer que les syndicats traduisent directement en suppression de Poste (s) dans un contexte suicidaire qui affole la médecine du travail…) .

     

    C’est toute la chaîne de la valeur et de la création de richesse qu’il faut en fait repenser mais nous n’en sommes pas encore là...

     

    L’offensive de la SEC aux USA sur Standard and Poor's, ou les attaques répétées des européens sur les agences de notations anglo-saxonnes sont en fait l’ultime mascarade pour faire tourner une roue carré.

    Les agences de notations sont évidemment les cibles désignées puisqu’elles dégradent les Etats et font fuir les investisseurs. Par ailleurs, « elles ne comprennent rien à là comptabilité des nations ». Le discrédit, une fois bien répandu, les gouvernements pourront sortir de leur chapeau la solution qui ne sera pas une solution économique mais un remède.

    Créer une agence de notation européenne et una autre américaine sous tutelle des Etats. Autant qu’on se mette les notes nous-mêmes, ça sera quand même plus simple et on sera tous en excellente santé…

    Nécronomiquement votre